Bonjour à vous,

Ici Baptiste Thevelein, cofon­da­teur et directeur des projets de Médianes. Je suis très heureux de vous retrouver pour cette deuxième édition de l’infolettre du studio.

C’est également un plaisir d’accueillir Maxime Leroy dans l’équipe à compter d’au­jourd’­hui. Maxime tiendra une chronique mensuelle portant sur les questions d’audience. Après s’être occupé de ce sujet au New York Times, à CNN ou chez Meetup, il est aujourd’hui entre­pre­neur et consul­tant pour Le Monde. Sa première chronique porte sur la néces­saire reprise en main des audiences par les médias.

Petit exercice pratique : 91% des des­ti­na­taires ont ouvert la première édition de cette info­lettre, il y a tout juste un mois. Un résultat incroyable. Mais en fait, à quoi sert-il, et que signifie-t-il vraiment ?

Les news­let­ters sont souvent le royaume de ces chiffres. En effet, l’e‑mail est une tech­no­lo­gie ancienne, disposant de peu de marge d’évolution, et le suivi des sta­tis­tiques est néces­sai­re­ment moins fort que sur un site internet ou une appli­ca­tion. C’est ce que j’indiquais aux par­ti­ci­pants à l’atelier « Crash-testez votre news­let­ter » donné il y a quelques semaines à Nantes, lors du Festival de l’Info Locale. 

On appelle ces chiffres miro­bo­lants des « Vanity metrics » : ils impres­sionnent mais n’aident pas à com­prendre la per­for­mance, ni à bâtir une stratégie pour le futur.

Si vous n’avez pas besoin de ces données, pourquoi les récolter ? En choi­sis­sant des indi­ca­teurs utiles et précis, vous gagnez du temps, et vous préservez l’ex­pé­rience de vos audiences, et ce sur le web, comme en papier.
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Précise et utile : c’est l’am­bi­tion de cette info­lettre. N’hésitez pas à répondre direc­te­ment à celle-ci après l’avoir parcourue, vos retours nous per­mettent de nous améliorer.

Bonne lecture !

— Baptiste, Marine et Christelle.